Les PV de NV

Robert est un sorcier juste, puissant, et respecté par la communauté magique internationale. Il a quitté Londres il y a déjà 10 ans, emmenant avec lui sa femme et ses leurs deux garçons. Travaillant dans la justice magique depuis sa sortie de Poudlard, il est très apprécié par ses collègues du tribunal international pour ses connaissances et sa rigueur.
Il a du mal, même après toutes ces années, a se faire aux règles strictes imposées par le MACUSA. Sa femme étant moldue, il ne comprends pas cette loi Rappaport et en a souvent discuté autours de lui. A cause de ça, le MACUSA le tien a l’œil.  

Née dans un petit village sorcier du Midwest, Rowena a toujours su qu'elle travaillerait un jour pour le MACUSA. Rêvant d'être auror depuis sa plus tendre enfance, la jeune femme a toujours fait en sorte d’obtenir ce qu'elle désirait. Elle fut assez déçue lorsqu'on lui demanda de partir s'installer a la Nouvelle Orléans afin de garder un œil sur les nombreux étrangers présent a cause de l'ONUM.
La sorcière, ayant assez de mal a se faire a la Louisiane, fait son travail du mieux qu'elle le peut, espérant pouvoir retourner a New-York le plus rapidement possible.

Fils de deux hauts représentants du MACUSA, Charles a connu la vie d'un parfait sorcier socialiste New-yorkais. Il avait tout pour réussir: le nom, l'éducation, et le talent, et pourtant, il décida de tout laisser derrière, pour le plus grand désespoir de ses parents. Ce qu'il aime dans la vie, c'est la musique, et plus particulièrement le jazz. Qu'y avait-il donc de mieux a faire que de partir a la Nouvelle-Orléans? Il y ouvrit donc un petit établissement dans un des quartiers les plus vivants de la capitale, célébrant nuit après nuit son amour pour cette musique. Mais attention, son commerce n'est pas si rose. Il se pourrait qu'il ai quelques affaires louches avec les Della Rosa et leur trafic d'alcool.

Né d'une mère américaine et d'un père Ukrainien, Dragomir a eu une enfance un peu perturbée. Né et éduqué a la Nouvelle-Orléans, il est un véritable sorcier du Sud, accent traînant et joie de vivre allant avec. Il a cependant du quitter son pays au jour de ses 11 ans, afin d'aller s'installer dans la famille ultra conservatrice de son père, pour ses études a Durmstrang. C'est une fois a l'étranger qu'il commença a s'interroger sur la place des sorciers, spécialement aux Etats-Unis. Avec les années, ses idées deviennent de plus en plus radicales, et lorsqu'il revient s'installer a la Nouvelle-Orléans, 20 ans plus tard, il sait ce qu'il doit faire: renverser le MACUSA. Et pour ça, il se construit, petit à petit, une armée de sorciers, pensant comme lui. Il n'est pas pressé, la patience est une de ses qualités. C'est un sorcier doué, et puissant, qui pourrait faire pleins de choses dans sa vie, mais il décida de devenir jardinier, ce n'est pas de sa faute s'il a toujours aimé les plantes et la botanique, et en ouvrant les oreilles, c'est fou ce qu'il est possible d'entendre a l'ONUM lorsque l'on est transparent pour le reste du monde.

Fille d'une femme à la peau blanche et d'un homme à la peau noire, elle est une enfant non-conforme aux lois non-majs de l'époque. Fort heureusement pour elle, née de parents sorciers, et qui plus est affiliée au Laveau de par son père, il n'y avait là rien d'anormal à son ascendance. Elle fut élevée au sein d'une famille unie, ne manqua jamais de rien, et fut toujours bien entourée, ainsi pensa-t-on longuement qu'elle serait de ces jeunes filles modèles qui seraient aptes à œuvrer pour la société; et sans aucun doute l'aurait-elle était s'il n'y avait eu un fond, ne serait-ce qu'infime, de folie.

Maline maligne créature, elle fut assez futée pour cacher à tous l'art divin qu'elle cachait en elle. Lire l'avenir, en voir les lignes les plus obscures. Elle était ainsi Hypathie, elle était de celle qui savait se jouer du destin en cachant au monde ses meilleures cartes. Elle était de celle qui savait prêcher le faux pour obtenir le masque du vrai. Cachant ses intentions pour mieux connaître celles des autres. Usant, abusant même de la crédulité de certains, pour s'absoudre de leurs jugements les plus néfastes.

Charmante créature aux airs angéliques, elle n'en restait pas moins un de ces monstres dont seule la Nouvelle-Orléans avait le secret. De ceux qui savaient se parer de leurs plus beaux atours pour mieux charmer leurs effrayants pairs. Elle était ainsi Hypathie, à mi-chemin entre la pythie et la vulgaire diseuse de bonne aventure.

Née au coeur des Antilles Françaises dans une famille de cultivateur de cannes à sucre et de distillateurs de Rhum-à-bulles, elle était promise à un avenir radieux fait d'autant de richesses que de cajoleries. Cependant, le destin en décida autrement lorsqu'à l'orée de ces dix-sept ans elle tombait enceinte et accouchée neuf mois plus tard d'un enfant à la peau sombre. Ses parents encore empreints des idéaux colonialistes en tournèrent de l’œil, et pris de rejet abandonnèrent l'enfant aux bons soins de quelques orphelinats. Quant à la pauvre Justine, bien qu'éprise d'un autre, fut marié à l'intendant de la plantation des Leblanc afin de cacher ses fautes.

Il ne lui fallut que peu de temps que son tout nouveau mari n'était qu'un rustre doté d'autant de violence que de luxure. Abusée, battue, elle œuvra et manœuvra pour fuir son quotidien outrancier, cette vie qui ne valait plus rien à ces yeux. Ce fut donc sans regret, ou presque, qu'elle prit le chemin du port pour se trouver une place au cœur d'un navire de la marine marchande. Elle n'avait que faire de la destination tant que celle-ci la menait loin de cette existence qui l'avait grevé. Elle n'avait que faire du chemin tant qu'il la menait vers un autre moyen de subsistance.

Ce fut en Louisiane qu'elle débarqua et ce fut à la Nouvelle-Orléans qu'elle prit place. Elle pensa oublié durant un certain temps son passé même de sorcière, d'en oublié tout pour redevenir une simple moldu, mais elle fut bien vite rattrapée par les besoins du quotidien. Elle n'avait ni argent, ni moyen de subsister si bien qu'elle eu recours à ce que les américains voyaient comme un interdit. Repérée par les autorités, elle compris bientôt qu'il lui faudrait bien plus que quelques tours pour exister, et ce fut le début d'une période de mendicité autant que de prostitution.

Joli minois. Port élégant. Elle se fit bientôt connaître sous le nom de Mademoiselle Justine. Puis Madame Justine, et au fil des années réussit à monter sa propre maison close au cœur des quartiers de Nola. Elle est aujourd'hui la copropriétaire de l'As de Coeur, et les touristes sorciers savent que pour s'offrir la joie de quelques amours éphémères il n'est rien de mieux que ces lieux.